A l'horizon par les brouillards,
Les tintamarres des hasards,
Vagues, nous armons nos démons
Dans l'entre-deux sournois des monts.
Au rivage que nous fermons
Dome un géant sur les limons.
Nous rampons à ses pieds, lézards.
Lui, sur son char tel un César
Alfred JARRY, Les Minutes de Sable Mémorial (1894)
Mon blog propose à la lecture des poésies et des réflexions de différents auteurs, le plus souvent de langue française, et parfois de langue anglaise ou espagnole.
mercredi 29 décembre 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Le Ruisseau
L ’ entendez-vous , l’entendez-vous Le menu flot sur les cailloux ? Il passe et court et glisse, Et doucement dédie aux branches,...
-
Quelle, et si fine, et si mortelle, Que soit ta pointe, blonde abeille, Je n'ai, sur ma tendre corbeille, Jeté qu'un songe de dentel...
-
Mon chat Ulysse A la jaunisse. Il ne dort plus. Il a si mal Qu'il ne joue plus Avec sa balle. Mon chat Ulysse A la jaunisse. ...
-
Immenses mots dits doucement Grand soleil les volets fermés Un grand navire au fil de l’eau Ses voiles partagent le vent Bouche bien faite p...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires et/ou critiques seront les bienvenus dès lors qu'ils n'enfreindront pas les règles de la courtoisie ...