We wandered to the Pine Forest
That skirts the Ocean's foam,
The lightest wind was in its nest,
The tempest in its home.
The whispering waves were half asleep,
The clouds were gone to play,
And on the bosom deep
The smile of Heaven lay ;
It seemed as if the hour were one
Sent from beyond the skies,
Which scattered from above the sun
A light of Paradise.
Percy Bysshe SHELLEY (poem written in 1822)
Le Ressouvenir
Nous errions vers la forêt de pins
Que borde l'écume de l'Océan,
Le plus léger vent était dans son nid,
La tempête dans sa demeure.
Les ondes murmurantes étaient mi-endormies,
Les nuages étaient partis jouer,
Et sur le sein de l'abîme,
Le sourire des cieux s'étendait ;
Il semblait comme si l'heure en fût une
Envoyée de par-delà le ciel,
Qui dispersât de plus haut que le soleil
Une lumière de paradis.
(traduction A. Fontainas)
That skirts the Ocean's foam,
The lightest wind was in its nest,
The tempest in its home.
The whispering waves were half asleep,
The clouds were gone to play,
And on the bosom deep
The smile of Heaven lay ;
It seemed as if the hour were one
Sent from beyond the skies,
Which scattered from above the sun
A light of Paradise.
Percy Bysshe SHELLEY (poem written in 1822)
Le Ressouvenir
Nous errions vers la forêt de pins
Que borde l'écume de l'Océan,
Le plus léger vent était dans son nid,
La tempête dans sa demeure.
Les ondes murmurantes étaient mi-endormies,
Les nuages étaient partis jouer,
Et sur le sein de l'abîme,
Le sourire des cieux s'étendait ;
Il semblait comme si l'heure en fût une
Envoyée de par-delà le ciel,
Qui dispersât de plus haut que le soleil
Une lumière de paradis.
(traduction A. Fontainas)