Tel l'océan de juillet sous la brise,
ton corps dispense l'ivresse fraîche et bonne :
neige et roses.
Rosée dans la forêt de mai, merisiers près de la source
n'ont pas de plus doux parfum
que tes lèvres parfumées.
Splendeur éblouissante de l'être -
vois la poussière où tu marches
avec adoration baiser
le balbutiant
esclave.
Vilhelm EKELUND (1880-1949)
Mon blog propose à la lecture des poésies et des réflexions de différents auteurs, le plus souvent de langue française, et parfois de langue anglaise ou espagnole.
samedi 30 mai 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Winters
"But what after all is one night ? A short space, especially when the darkness dims so soon, and so soon a bird sings, a cock crows, o...
-
Mon chat Ulysse A la jaunisse. Il ne dort plus. Il a si mal Qu'il ne joue plus Avec sa balle. Mon chat Ulysse A la jaunisse. ...
-
Immenses mots dits doucement Grand soleil les volets fermés Un grand navire au fil de l’eau Ses voiles partagent le vent Bouche bien faite p...
-
Et Dieu s'promena, et regarda bien attentivement Son Soleil, et sa Lune, et les p'tits astres de son firmament. Il regarda la terre ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires et/ou critiques seront les bienvenus dès lors qu'ils n'enfreindront pas les règles de la courtoisie ...