Tôt ou tard, la pensée, la conscience morale, l’art, le social s’arrêtent à leur propre limite et alors le choix s’impose : s’installer dans l’infini vicieux ou dépasser sa propre limitation et, dans la transparence de ses eaux claires, refléter l’invisible. Le Royaume de Dieu n’est accessible qu’à travers le chaos de ce monde. Il n’est pas une transplantation étrangère, mais la révélation de la profondeur cachée de ce monde même.
Paul EVDOKIMOV, La Femme et le Salut du Monde.
Mon blog propose à la lecture des poésies et des réflexions de différents auteurs, le plus souvent de langue française, et parfois de langue anglaise ou espagnole.
samedi 17 octobre 2009
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