J'ai dit ma peine à qui n'a pas souffert
Et il s'est ri de moi
J'ai dit ma peine à qui a souffert
Et il s'est penché vers moi.
Ses larmes ont coulé avant mes larmes
Il avait le coeur blessé
Jean AMROUCHE, Chants berbères de Kabylie (1939)
Mon blog propose à la lecture des poésies et des réflexions de différents auteurs, le plus souvent de langue française, et parfois de langue anglaise ou espagnole.
samedi 19 décembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Le Ruisseau
L ’ entendez-vous , l’entendez-vous Le menu flot sur les cailloux ? Il passe et court et glisse, Et doucement dédie aux branches,...
-
Quelle, et si fine, et si mortelle, Que soit ta pointe, blonde abeille, Je n'ai, sur ma tendre corbeille, Jeté qu'un songe de dentel...
-
Mon chat Ulysse A la jaunisse. Il ne dort plus. Il a si mal Qu'il ne joue plus Avec sa balle. Mon chat Ulysse A la jaunisse. ...
-
Immenses mots dits doucement Grand soleil les volets fermés Un grand navire au fil de l’eau Ses voiles partagent le vent Bouche bien faite p...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires et/ou critiques seront les bienvenus dès lors qu'ils n'enfreindront pas les règles de la courtoisie ...