dimanche 30 mai 2010

Aux travailleuses

Des joies parallèles à la fatigue. Des joies sensibles. Manger, se reposer, les plaisirs du dimanche... Mais non pas l'argent.
Nulle poésie concernant le peuple n'est authentique si la fatigue n'y est pas, et la faim et la soif issues de la fatigue.

Simone WEIL, La Pesanteur et la Grâce

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