Two roads diverged in a yellow wood
And sorry I could not travel both
And be one traveller, long I stood
And looked down one as far as I could
To where it bent in the undergrowth;
Then took the other, as just as fair,
And having perhaps the better claim,
Because it was grassy and wanted wear;
Though as for that passing there
Had worn them really about the same,
And both that morning equally lay
In leaves no step had trodden black.
Oh, I kept the first for another day !
Yet knowing how way leads on to way,
I doubted if I should ever come back.
I shall be telling this with a sigh
Somewhere ages and ages hence :
Two roads diverged in a wood, and I –
I took the one less traveled by,
And that has made all the difference.
Robert FROST, Mountain interval.
Mon blog propose à la lecture des poésies et des réflexions de différents auteurs, le plus souvent de langue française, et parfois de langue anglaise ou espagnole.
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C'est merveilleux ! Un grand poète Frost, une vie terribile ...
RépondreSupprimer" … je pris moins battue. "
Aussi moi aurait pris la moin battue ...comment tant autres certainament ...
Je vous remercie pour cet poeme, une grande et belle répondue à moi...
Bonne dimanche! Aussi ici le printemps revient ...
Lara
Ce matin je ne vous ai pas dit que la dernière strophe de ce poéme, est citée dans le film "L' Attimo fuggente" de Peter Weir.
RépondreSupprimerBonne soirèe!
Chère Lara,
RépondreSupprimerCe que vous m'apprenez à propos du film de Peter Weir ne me surprend qu'à demi car ce poème de Frost est extrêmement connu en Amérique.
Je vous remercie de m'avoir signalé le film, que j'irai certainement voir si l'occasion s'en présente. Merci aussi pour votre fidélité, et bonne semaine !